Je ne suis pas une voyageuse. Je ne pars pas en vacances ni en week-end. Mais de temps à autre, je consens à me faire violence pour me forcer à sortir de ma petite zone de confort.
Japan Expo fait partie de ces occasions, certaines années. J’avais passé mon tour en 2012, me revoilà en selle en 2013. TER, TGV, RER… Certainement pas des acronymes qui me font rêver, mais me voilà installée dans mon hôtel à côté du Parc des expo de Villepinte, après avoir notamment failli me paumer à la sortie de la gare RER (quelle idée de fermer la sortie, aussi…).
J’ai ensuite profité de l’après-midi pour aller chercher mon badge – oh quelle horrible photo, cachez-moi ça !! – et faire un petit tour au milieu des stands en cours de montage.
Comme d’habitude, il y a les bons élèves, qui ont quasiment fini de tout installer, voire déjà emballé leur stand pour la nuit, et les autres qui ont à peine installé les tables Il y a les veinards qui sont super bien placés – Komikku, impressionnant pour une première fois en éditeur – et d’autres qui vont devoir se taper des voisins bruyants – les tests micro toute l’après-midi, c’est vraiment nécessaire ? Il y a le stand Nintendo, qui semble immense, l’expo Tetsuo Hara, à la statue impressionnante, le coin tuning dont on continue de se demander ce qu’il fait là…
Bref, après ce premier tour pour reprendre mes marques, saluer les connaissances rencontrées déjà fatiguées, me revoilà à l’hôtel avec l’habituelle torpeur du premier soir « je rentrerais bien à la maison »
Comme pour le Festival d’Annecy, ce sera un Japan Expo tranquille pour moi, juste deux jours pour papoter avec les éditeurs et les copains, flâner, peut-être acheter quelques petites choses, prendre des photos et proposer ensuite un compte-rendu rapide sur le Live pour les intéressés qui n’auraient pas pu y aller. N’ayant plus l’étiquette Mangaverse autour du cou, je ne me sens plus aucune obligation (que je n’avais pas avant non plus mais que je me fixais personnellement). Incroyable comme je me sens libérée depuis que j’ai tourné la page Mangaverse.
Et comme pour le Festival d’Annecy, je choperai peut-être un wifi pour tweeter de temps à autre. Ou jouer à Candy Crush si je m’emmerde violemment
(Désolée si les photos sont lourdes ou pas retravaillées, je découvre Gimp et a priori, lui et moi, on va pas être copains…)
Mais si, Gimp est ton ami. Brrr RER demain…
Je me demandais si c’était bien toi avec Hervé tout à l’heure, je crois que j’ai ma réponse.
Et sinon, pareil : déjà crevé alors que rien n’a réellement commencé… C’est mal parti !
Moi, c’est l’inverse, j’adore voyager. Si je pouvais, je serais toujours en vadrouille. Mais je n’aime pas le RER non plus. Son parfum unique, ses horaires facétieux…
Bon courage pour Gimp, que je trouve très bien aussi. J’ai juste du mal avec les fenêtres volantes. Jamais réussi à me faire à Photoshop par contre.
Gimp, c’est de la grosse merdasse pas pratique. Son seul intérêt est d’être gratuit. Et encore, j’ai trouvé des logiciels bien plus légers et qui font très bien le boulot de base pour illustrer des posts de blogs.
Mais bon, rien n’arrive à la cheville de ‘toshop !
Sinon, oui, je ferai de beaux portraits de toi pour l’année prochaine car là, je confirme que…
Pour ma part, j’ai réutilisé le portrait que Minh avait fait de moi il y a… pfiou, il y a si longtemps que ça… Du coup, je risque de me faire refouler si un vigile trouve que je ne ressemble pas assez à mon badge
Moi, j’ai beaucoup aimé le travail de préparation de stand d’IMHO
ah c’est dommage, je sais pas à quoi tu ressembles, j’aurai voulu dire « j’aime ce que vous avez fait depuis 10 ans ».
Disons qu’utiliser Gimp sur un netbook sous Linux, c’est sans doute pas le meilleur moyen pour faire connaissance avec l’outil Et puis c’est vrai que j’ai l’habitude de Photoshop alors là, juste pour réduire une image, j’ai galéré…
Pazu : perso, je supporte le RER quand il est quasi-vide et que je n’ai que deux stations. Sinon, je ne réponds plus de rien
Natth : en soi, je trouve ça chouette de voyager. Juste que je le supporte très mal
Gemini : ah mince, on s’est vus ?? C’est le souci avec Hervé, il connaît tout le monde et il oublie que c’est pas forcément le cas des autres… Donc si jamais on se recroise, hésite pas
Rukawa : ben tu viens de le faire, en soi Et ça me touche beaucoup, merci.