AfterMangaverse.net, terminus, tout le monde descend !
Tout d’abord, et parce qu’il faut être gentil avec le visiteur si on souhaite qu’il revienne, bienvenue à vous !
Installez vous confortablement, je ne serai pas trop longue.
La curiosité n'est toujours pas un défaut…
Tout d’abord, et parce qu’il faut être gentil avec le visiteur si on souhaite qu’il revienne, bienvenue à vous !
Installez vous confortablement, je ne serai pas trop longue.
Les habitants de la résidence appellent cet endroit le quartier de la lumière. Un quartier tout simple, comme tant d’autres, où se croisent ce mangaka en recherche d’inspiration, ce jeune garçon ayant trouvé une occupation pour le moins inattendue, cette fille qui guette un monstre de son passé, ce père franchement à l’ouest, ce nostalgique de la vie d’avant, cette lycéenne découvrant les lubies d’une de ses camarades de classe…
Un an après Arrietty, les salles obscures françaises accueillent un nouveau film d’animation du studio Ghibli. Adapté d’un manga de Chizuru Takahashi et Tetsuro Sayama (sorti en version française chez Akata/Delcourt), La Colline aux Coquelicots est signé Goro Miyazaki, réalisateur portant le poids d’un héritage familial plutôt lourd : fils du célèbre Hayao Miyazaki, son premier film, Les Contes de Terremer, sorti en 2007, n’a pas vraiment fait le bonheur des critiques. Il s’agit d’ailleurs d’un des rares Ghibli que je n’ai pas vus, refroidie par les avis plutôt négatifs émis à l’époque. La Colline aux Coquelicots va-t-elle lui permettre de commencer à se faire sa place, imposer sa patte, montrer sa propre sensibilité ?
En 2008, alors qu’on attendait tranquillement le troisième tome de L’immeuble d’en face, Vanyda démarra une nouvelle série avec la sortie de Celle que je ne suis pas, chez Dargaud. Un volume suivi en 2009 de Celle que je voudrais être puis de Celle que je suis en octobre 2011.
Elle vient d’avoir 15 ans et tandis que ses copines la poussent à sortir avec le beau Thomas, auréolé de son statut de Terminale, l’adolescente croise dans la rue un regard, celui d’Emma, une fille aux cheveux bleus qui traverse nonchalamment la grande place de Lille.