Aya de Yopougon
Direction Abidjan, en Côte d’Ivoire, et plus précisément le petit quartier de Yopougon, à la fin des années 70.
La curiosité n'est toujours pas un défaut…
Le cinéma d’animation, qu’il soit japonais, américain, français ou autre, sans limite…
Direction Abidjan, en Côte d’Ivoire, et plus précisément le petit quartier de Yopougon, à la fin des années 70.
Hana est étudiante quand elle le rencontre sur les bancs de la fac. Un peu mystérieux et discret au départ, il finit par se dévoiler à elle, lui révélant au passage son grand secret qui l’a toujours tenu à l’écart des autres. Il est le dernier homme-loup.
Dans le monde d’en haut vit Ernest, ours saltimbanque parmi les ours vaillants travailleurs. Il habite une petite maison à l’écart et ne cherche qu’à vivre tranquillement avec le ventre bien rempli et ses instruments de musique sous la main.
Un an après Arrietty, les salles obscures françaises accueillent un nouveau film d’animation du studio Ghibli. Adapté d’un manga de Chizuru Takahashi et Tetsuro Sayama (sorti en version française chez Akata/Delcourt), La Colline aux Coquelicots est signé Goro Miyazaki, réalisateur portant le poids d’un héritage familial plutôt lourd : fils du célèbre Hayao Miyazaki, son premier film, Les Contes de Terremer, sorti en 2007, n’a pas vraiment fait le bonheur des critiques. Il s’agit d’ailleurs d’un des rares Ghibli que je n’ai pas vus, refroidie par les avis plutôt négatifs émis à l’époque. La Colline aux Coquelicots va-t-elle lui permettre de commencer à se faire sa place, imposer sa patte, montrer sa propre sensibilité ?