Pour une fois, je suis partie tôt pour pouvoir assister aux petits dej du court dès le début (mon chien a détesté me voir partir, il a filé sous mon bureau et failli rendre son déjeuner… Trop sensible !!).
Et me voilà donc à 8h40 à attendre devant l’entrée de la salle qui s’ouvre bien vite. C’est la première fois que je peux m’asseoir correctement à une table et profiter des viennoiseries ! Par contre, un peu de clim ne serait pas de refus, on commence déjà à cuire.
Je m’installe et nous voilà partis pour les désormais classiques rencontres avec les réalisateurs des courts métrages diffusés en compétition la veille. C’est toujours intéressant, y compris pour les films qu’on n’a pas trop aimés, peut-être même principalement pour eux en fait, d’avoir les réflexions de son auteur.e. Et ça peut me permettre de m’aider pour mon récap de fin de semaine…
A 10h15, je n’ai qu’à descendre d’un étage pour me mettre dans la file pour ma première séance du jour, consacrée à l’adaptation du manga A Silent Voice de Yoshitoki Oima dont j’avais d’ailleurs fait une chronique il y a quelque temps.
Pour l’occasion, j’ai la chance de retrouver Paprika, une connaissance twitter justement bénévole sur le Festival. On a lu toutes les deux le manga donc on est toutes les deux en terrain connu (ce qui ne l’a pas empêchée de lâcher une petite larmichette ;)).
Dommage, le réalisateur n’est pas là pour présenter son film, ce qui explique sans doute qu’il n’y ait pas de conférence de presse dessus.
En tout cas, on assiste à une belle séance dont je vous livre ma petite chronique habituelle.
12h50, nous voilà dehors et je file pour ma part à la bibliothèque écrire un peu, laissant le monde se restaurer vu que ma prochaine séance est à 15h. Avec deux longs métrages aujourd’hui, ça me fait quand même trois billets à écrire, autant gagner du temps pour ce soir…
13h40, je file manger à L’heure tourne, mon premier vrai repas de la semaine et peut-être le seul…
A 14h, je suis bien installée au Pathé salle 2 pour ma séance consacrée à Zombillénium d’Arthur de Pins et Alexis Ducord. La salle est blindée, aucune place n’est laissée vide.
Et franchement, ça valait le coup ! Drôle, explosif, beau… Ça sent au moins le Prix du public, non ?
Chronique d’ici quelques minutes…
Je repars direction l’arrêt de bus. Le ciel commence à bien s’obscurcir même si on fond de chaleur sur le trajet. Et effectivement, gros orage à 18h30…
Mais bon, on se retrouve demain quand même, non ? Pour trois séances quand même…