Dimanche, 14h, je me connecte à mon compte sur le site du Festival pour compléter mon planning. Je voulais me rajouter une 3ème séance jeudi, puisqu’on était limité à 2 jusque-là, et voir si des places étaient enfin disponibles pour Vice-versa le mardi. Pas de souci pour le jeudi mais pour le Pixar, je n’ai jamais vu la séance autrement que marquée complète. Bon, tant pis.
Petit tour ensuite en ville pour aller chercher l’accréditation et le matériel du festivalier. Le ciel se fait menaçant et ça caille un peu… J’arrive à Bonlieu, presse le pas jusqu’à la tente pour découvrir qu’il faut déjà faire la queue… Je regrette quelque peu mes années passées en Presse où le comptoir dédié était toujours quasi-vide… C’est parti pour une trentaine de minutes de queue avec en plus la pluie qui s’invite. Ha ha ha. Trop cool.
Rien de bien méchant néanmoins et après tout, je préfère ça à un soleil de plomb qui me coupe les jambes. Passage au guichet, et j’ai droit au nécessaire de survie du festivalier, comprenant accréditation (à ne pas perdre, toutes mes réservations sont dessus), sac (très laid et pas du tout pratique cette année, il restera à la maison pendant cette semaine), diverses paperasses et évidemment les deux guides indispensables, l’Essentiel dont je ne vais pas me séparer jusque samedi et l’Officiel, qui avec son petit 1,3 kg sur la balance sera ma bible de référence mais restera sagement sur mon bureau. Même si c’est pratique pour avoir un résumé de chaque film durant les séances de courts métrages. Hum… Avec leur passage au tout numérique, pourquoi ne pas proposer ces guides en version epub ou PDF ? Certes, il y a déjà une appli sur Android qui fonctionne pas mal mais les résumés n’y sont pas, dommage.
Une fois tout ça récupéré, je vais faire un tour à l’Office du tourisme voir s’ils ne vendent pas l’abonnement bus de la semaine spécial festivaliers : 7,30€ pour le bus à volonté, vu que je m’en servirai 2 fois par jour, c’est pratique. Comme d’habitude, je suis la première à débarquer pour demander ça (chaque année !!) et ils ne savent donc jamais trop précisément comment ça fonctionne. Pas grave, au moins, c’est fait.
Pas besoin de s’éterniser davantage, le bout de teckel qu’on a emmené avec nous pour lui faire une sortie a décidé de se friter avec tous ses congénères (surtout s’ils font plus de 30 kg, le con…)…
En jetant un œil à l’Essentiel, je remarque que le mardi à 16h, il y a une séance du film Le prophète, qui fait l’ouverture du Festival lundi soir, sans Salma Hayek, productrice, qui ne peut finalement pas venir (l’ouverture = séance uniquement sur invitation et tu peux te gratter pour en avoir une, à la rigueur tu peux faire la queue juste avant la séance et espérer qu’il y ait des places laissées vides). Je demande des infos au compte officiel sur Twitter, il s’agit en fait d’une séance pour les scolaires. Ah OK, pourquoi pas. Dommage quand même qu’en tant que festivalier, je n’ai accès à aucune séance de ce film sur réservation mais bon… ma semaine sera déjà suffisamment animée comme ça !
Le début de la semaine devrait nous éviter les fortes chaleurs (mais sans doute pas la pluie, on ne peut pas tout avoir), c’est déjà bien.
Mon festival commencera demain à 10h30 avec un premier long métrage japonais dont je ne sais absolument rien. Rendez-vous donc demain soir a priori pour un premier compte rendu !
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A te lire, je me dis que ça commence à me titiller à nouveau d’aller au Festival d’Annecy 🙂
Reste plus qu’à m’organiser et à décider une certaine T. à m’accompagner 🙂