1 février 2023

FIFA 2018 : mercredi côté longs métrages

Cette troisième journée de Festival sera consacrée aux longs métrages.
Ça commence dès 9h15 avec la conférence de presse de Mamoru Hosoda pour son film Miraï, ma petite sœur, projetée la veille au soir dans la Grande Salle. Je ne le verrai pour ma part que cet après-midi mais je ne voudrais pas louper l’occasion de voir le réalisateur parler de son dernier film.

Bonlieu avant 9h, déjà quelques festivaliers patientent pour la séance de 10h30. Le groupe en bas à gauche, c’est Mamoru Hosoda et son équipe qui arrivent

Le souci, c’est qu’a priori, je ne suis pas la seule. Quand j’arrive devant la (toute petite) salle, il y a déjà pas mal de gens qui attendent. Et je ne vois pas trop comment tout ce monde là pourrait rentrer.

Passent en priorité les journalistes – tiens Matthieu Pinon nous nargue… – puis la file commence à avancer. Je ne suis pas très confiante mais je me dis qu’au pire, je peux me rabattre sur le petit dej des courts.

Au moins, je peux bien voir l’affiche à l’entrée de la salle…

La file avance, avance… et s’arrête juste devant moi. Salle pleine. Ha ha. Heureusement, ils laissent la porte ouverte, on est donc une petite troupe à squatter l’entrée et tendre l’oreille. Je vais rester debout pendant 45 mn mais presque tout entendre de la série de questions-réponses, plutôt intéressante d’ailleurs. J’y reviendrai peut-être lors de ma chronique du film.

Une fois la conférence terminée, Mamoru Hosoda se plie de bonne grâce au jeu des autographes – il y en a un qui en était visiblement très très content, il semblait ne pas en revenir – et des photos (je m’y risque mais pas simple avec le monde autour).

Tout ça m’a donné très envie de voir Miraï… mais ce n’est pas mon long métrage de 10h30.
Je file vers la Grande Salle où je me trouve une très bonne place, pour voir Parvana, une enfance en Afghanistan de Nora Twomey. Depuis le temps qu’on l’attend, celui-là…

L’équipe du film dont la doubleuse en français de la jeune Parvana – qu’on n’entendra pas dans le film puisqu’on nous projette la version anglaise – est présente sur scène et on en retrouvera deux lors de la conférence de presse qui suivra. L’accueil de la salle est en tout cas enthousiaste…
Vous pouvez retrouver ma chronique du film ici.

A 12h, je retourne donc directement vers la salle de la conférence de presse. Vais-je réussir à y entrer cette fois ? L’une des personnes chargées de l’accueil me reconnaît et me dit que là, je pourrai m’asseoir. Ouf ! N’empêche que la petite salle est là encore bien remplie.

On y retrouve la réalisatrice Nora Twomey et la comédienne Golshifteh Farahani, qui double donc Parvana en français. Elles ne peuvent par contre pas rester très longtemps, la conférence se termine à 12h48, un autre engagement les attend.

Mine de rien, ça m’arrange un peu. J’ai le temps d’aller me chercher à manger, un sandwich que j’avale à moitié pendant que je pars rejoindre ma dernière salle de projection du jour au cinéma Pathé.

Il est 13h un peu passé quand je m’installe pour ma séance de 13h30, cette fois-ci pour Miraï, ma petite sœur. Je n’ai rien vu du nouveau Mamoru Hosoda, histoire de garder la découverte autant que possible. Là encore, vous pouvez retrouver ma chronique ici.

Jolie journée de projection qui se termine à 15h30 pour moi aujourd’hui. J’ai bien fait d’annuler ma séance de 16h, même si revoir Totoro de Miyazaki dans ces conditions m’aurait bien plu. Je préfère rentrer tranquillement, il parait que j’ai des comptes rendus et chroniques à écrire…
Et demain ? Rien le matin. Deux séances de courts métrages l’après-midi, sous condition que mon chauffe-eau soit fini d’être installé…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.